Comment améliorer la vie en copropriété ?
Vous souhaitez faire reculer le montant des charges de votre copropriété, améliorer la communication entre les copropriétaires, obtenir des services de livraison d’aliments, d’entretien des véhicules ou encore mettre en place des garde d’enfants. Autant de prestations utiles au sein d’un immeuble pouvant être délivrés par une conciergerie appartenant à celui-ci. Aujourd’hui de nombreuses start up proposent aux copropriétés des services innovants permettant de valoriser les échanges et d’améliorer la vie dans l’immeuble.
Améliorer sa copropriété : installez une conciergerie dans votre immeuble pour bénéficier de nombreux avantages
De plus en plus d’immeubles neufs mettent à la disposition de l’ensemble des copropriétaires une salle partagée comme des chambres d’hôte, salles de sport ou encore un local pour les outils. Faire appel à un service de conciergerie permet d’organiser la gestion de la salle en question. Cela peut passer par un digicode pour déverrouiller l’accès à la salle ou encore l’instauration d’un calendrier reprenant les bases d’Airbnb pour savoir quand la chambre est ou non disponible. En règle générale, le promoteur apporte l’ensemble des ressources (outils pour un local d’outillage, machines pour les salles de sport…) et le service de conciergerie s’occupe de l’entretien.
Certaines conciergeries nouent des partenariats avec des entreprises locales pour apporter davantage de prestations. Vous pouvez par exemple déposer votre linge dans une boîte à colis connectée à l’intérieur de l’immeuble pour qu’il soit envoyé au pressing ou vous faire livrer des aliments issus de commerces de proximités (vin, produits du terroir…).
Le recours à un service de conciergerie a un impact sur le montant des charges. Veillez à ce que l’entreprise en question ne soit pas trop gourmande. Les services délivrés doivent répondent au besoin de la copropriété.
Améliorer sa copropriété : faites reculer le montant de vos charges grâce à des applications
Pensez à demander l’installation d’une application pour signaler les incidents dans la copropriété. Chouettecopro, Followme, Coproconnect… Leur mécanisme est souvent le même. Depuis votre smartphone ou votre tablette vous allez faire remonter au syndic ou au conseil syndical un incident (panne d’ascenseur, fuite d’eau, porte d’entrée cassée…). L’information, une fois validée, est partagée en ligne avec l’ensemble des occupants, pouvant suivre le bon déroulement de la résolution du sinistre.
D’autres entreprises, comme MeilleurCopro, vous aident à renégocier l’ensemble des contrats de la copropriété afin de vérifier ceux dont les prix peuvent être revus à la baisse et ainsi faire des économies sur les charges. Quelques bons réflexes pour éviter les charges trop élevées : refusez systématiquement les diagnostics immobiliers inutiles, ne payez jamais les impayés des autres copropriétaires et limitez la durée du contrat de votre syndic afin de le mettre régulièrement en concurrence.
Facilitez la communication au sein de la copropriété grâce aux réseaux sociaux
N’hésitez pas à demander la mise en place d’un réseau social d’immeuble comme ma residence.fr ou à créer un groupe Facebook ou WhatsApp pour l’immeuble. La communication est le ciment des relations de voisinage et le numérique peut, par bien des aspects, fluidifier le dialogue au sein d’un même immeuble.
Une mauvaise ambiance au sein d’une copropriété relève parfois d’un manque de communication entre les copropriétaires. Pour éviter que le malaise ne s’installe, il est primordial de ne pas rester dans l’anonymat en créant et en entretenant un lien. N’hésitez d’ailleurs pas à devenir l’animateur de cette communauté en organisant des événements fédérateurs. Ils permettront à tous de se rencontrer.
Les points clefs à retenir :
- Trouvez les services correspondant aux besoins de l’ensemble des occupants de l’immeuble pour les mettre en place.
- Pensez aux services permettant de faire reculer le montant des charges de copropriétés.
- Devenez un acteur de la vie de votre immeuble.
Troubles de voisinages : gérer les conflits en copropriété
Aboiements, musique trop forte, mauvaises odeurs ou encore encombrement du palier par les cartons de déménagement : à peine arrivé dans votre logement flambant neuf vous êtes déjà importunés par vos voisins ! La plupart du temps, une lecture approfondie du règlement de copropriété et une discussion avec l’occupant à l’origine des troubles peut suffire à arrondir les angles. Si cela n’aboutit pas, il faudra prévenir le syndic voire envisager un recours devant la justice. Voici nos conseils pour gérer au mieux les conflits pouvant survenir en copropriété.
Troubles de voisinage, qu’est-ce que c’est ?
Peuvent être considérés comme des troubles de voisinage certains bruits dits « de comportement » provoqués de jour comme de nuit (musique, perceuse, talons, aboiements…) ou certaines nuisances olfactives (barbecue, dépôt d’ordures…).
Troubles de voisinage : en copropriété, le règlement fait la loi
Le règlement de copropriété peut interdire ou limiter certains bruits : par exemple, des travaux pourront être réalisés le weekend mais seulement entre 10 heures et 17 heures le samedi et entre 10 heures et midi le dimanche.
Le règlement peut aussi réglementer l’usage des parties communes ou privatives. Ainsi, l’usage des barbecues est généralement prohibé sur les terrasses et les balcons. De même, il est interdit d’encombrer les parties communes (halls d’entrée, couloirs, paliers) avec des objets : cartons, vélos, poussettes…
A noter : il ne faut pas confondre règlement de copropriété et règlement intérieur de copropriété. Ce dernier est un document facultatif qui n’a pas de valeur juridique et qui ne peut pas être opposé à un copropriétaire ou un occupant.
Troubles du voisinage : tenter d’amorcer un dialogue avec l’auteur des troubles
Commencez toujours par entamer un dialogue avec le voisin bruyant ou encombrant. Après ce premier contact, vous pouvez lui envoyer une lettre simple rappelant les nuisances reprochées et précisant les clauses du règlement de copropriété non respectées. Si les troubles persistent, une mise en demeure sous pli recommandé avec accusé de réception s’impose pour demander l’arrêt des troubles. Enfin, un conciliateur de justice peut jouer le rôle de médiateur en cas d’échec de la mise en demeure, à condition que le voisin donne son accord.
Troubles du voisinage : le syndic doit faire appliquer le règlement
C’est au syndic qu’il incombe de faire respecter le règlement de copropriété, cela fait partie de ses attributions. Si la solution amiable ne porte pas ses fruits, vous pouvez lui exposer le problème par écrit. Il enverra ensuite un avertissement à l’auteur des nuisances en lui rappelant les dispositions du règlement de copropriété.
Troubles du voisinage : l’action en justice en ultime recours
Lorsqu’il est impossible de trouver un terrain d’entente avec l’auteur des nuisances, il faut intenter une action en justice, devant le tribunal judiciaire. Il remplace les tribunaux d’instance et de grande instance à compter du 1er janvier 2020.Vous pouvez agir seul contre le copropriétaire à l’origine du trouble de voisinage. Si plusieurs copropriétaires en sont victimes, l’action peut être collective. Dans ce cas, c’est le syndicat des copropriétaires qui, après accord de l’Assemblée générale, saisit la justice.
A noter : si l’occupant à l’origine des troubles est locataire, informez son bailleur de la situation. Sa responsabilité pourrait être engagée s’il n’intervient pas.
Les points essentiels à retenir
- Bruits, odeurs, encombrement des parties communes : les troubles de voisinage peuvent prendre différentes formes.
- En copropriété, le règlement peut limiter ou interdire certains bruits ou comportements.
- La solution amiable est toujours à privilégier.
- A défaut, il faudra prévenir le syndic qui a pour mission de faire appliquer le règlement de copropriété.
- Si toutes ces solutions amiables restent sans effet, la seule solution est de saisir la justice. Une procédure longue et coûteuse vous attend.
Comment se met en place la copropriété dans un immeuble neuf ?
Vous venez d’acheter un logement neuf ou sur un logement sur plan ? Vous êtes donc, à la fois, devenu propriétaire mais aussi…copropriétaire. Pas tout à fait car, en réalité, la loi de 1965 précise que la copropriété va réellement être constituée lors de la livraison du premier lot. Cela n’est possible que lorsque l’immeuble est achevé. C’est-à-dire quand tous les éléments et équipements indispensables à son utilisation sont installés Nous vous aidons à comprendre la mise en copropriété de votre nouvel immeuble.
Certains documents vous sont remise avant la signature du contrat de vente
Lorsque vous signez le contrat de vente vous avez en votre possession, depuis au moins un mois, le règlement de copropriété et l’état descriptif de division. Le premier organise et encadre le fonctionnement de l’immeuble et le second décrit la répartition des différents lots.
Lisez attentivement ces documents. Si certaines dispositions ne vous conviennent pas, il faudra les faire modifier lors de la première assemblée générale (AG) des copropriétaires.
Un syndic provisoire est mis en place par le promoteur
Le premier syndic, appelé syndic provisoire, est mandaté par le promoteur. Il prend réellement ses fonctions lorsque l’immeuble est achevé. Pour éviter qu’il ne soit « indéboulonnable », le syndic provisoire est élu pour un an seulement. La loi ALUR impose sa mise en concurrence lors de la première AG.
Le rôle clé du syndic provisoire
Le rôle du syndic provisoire est primordiale puisqu’il gère l’achèvement des travaux et les douze premiers mois de la nouvelle copropriété. Il doit, notamment, assurer la réception des travaux sur les parties communes et vérifier qu’ils sont conformes à ce qui était prévu. C’est aussi à lui qu’incombe, lorsque c’est nécessaire, de mettre en œuvre la garantie de parfait achèvement.
La première assemblée générale
Dans les douze mois de la mise en copropriété, le syndic provisoire doit convoquer la première assemblée générale des copropriétaires. Il fixe seul l’ordre du jour car le conseil syndical n’a pas encore été élu. Il doit se mettre lui-même en concurrence en proposant d’autres contrats de syndic. Les copropriétaires qui le souhaitent peuvent faire inscrire des résolutions à l’ordre du jour ou soumettre d’autres contrats de syndics. Prenez le temps d’examiner les documents qui vous sont envoyés avec la convocation : comptes, budget prévisionnel…
La naissance de la copropriété dans un immeuble livré par tranches
Lorsque le programme est livré par tranche, la copropriété naît à l’achèvement du premier bâtiment. Les acheteurs de lots dits « transitoires » dans les bâtiments suivants/successifs deviennent copropriétaires avant l’achèvement : ils doivent payer leurs charges et sont convoqués aux assemblées générales.
Les points essentiels à retenir
- La mise en copropriété d’un immeuble neuf démarre avec la livraison du premier lot.
- Le règlement de copropriété et l’état descriptif de division vous sont remis, en amont, avant la signature du contrat de vente.
- C’est le promoteur qui mandate le premier syndic, appelé syndic provisoire.
- Son rôle est primordial car il gère la fin du chantier et met en œuvre les premières garanties.
- Dans les douze mois de la mise en copropriété le syndic provisoire doit convoquer une assemblée générale des copropriétaires.
Chauffage, eau, électricité : les astuces pour faire baisser vos charges
Vous venez d’acheter un appartement neuf très économe en énergie ? Pour profiter pleinement de ses performances énergétiques, adoptez les bons réflexes et appliquez quelques règles de bon sens. Chauffage, eau, électricité : il suffit de quelques gestes pour faire baisser vos factures durablement. Vous agissez, en outre, au profit de l’environnement.
5 conseils pour faire baisser votre facture de chauffage
Pour profiter au maximum des performances thermiques de votre nouveau logement, il suffit de suivre quelques conseils de bon sens.
- Ne surchauffez pas votre appartement. Ce sera meilleur pour la planète et pour votre porte-monnaie : 1 degré en moins c’est 7 % d’économies réalisé ! Pour rappel, il est conseillé d’avoir une température de 19°c dans les pièces à vivre et de 17°c dans les chambres.
- Baissez les radiateurs pendant la journée lorsque vous vous absentez.
- Éteignez les radiateurs lorsque vous ouvrez les fenêtres en hiver.
- Fermez les volets par périodes de grands froids.
- Pensez à entretenir régulièrement vos systèmes de ventilation mécanique contrôlée (VMC). Ils vous permettent de ventiler tout en limitant les pertes thermiques. Mais ils perdent de leur efficacité lorsqu’ils sont encrassés.
5 conseils pour faire baisser votre facture d’eau
- Offrez-vous un lave-vaisselle, vous consommerez trois fois moins d’eau qu’en lavant à la main.
- Installez un mousseur (ou aérateur) à la sortie de vos robinets. Vous en réduirez le débit de 30 à 70% grâce à l’injonction de minuscules bulles d’air dans l’eau.
- Optez pour un pommeau de douche « écologique ».
- Utilisez correctement la chasse d’eau double débit (elle vous permet d’activer une grosse chasse ou une petite chasse) de votre appartement.
- Réparez les fuites sans tarder, y compris celles qui semblent insignifiantes. Un robinet ou une chasse d’eau qui fuient goutte à goutte peuvent vous coûter plusieurs centaines d’euros chaque année !
5 conseils pour faire baisser votre facture d’électricité
- Privilégiez les ampoules basse consommation ou leds.
- Choisissez des appareils électroménagers basse consommation (les mieux classés ont l’étiquette énergie A +++) et faites-les fonctionner en heures creuses.
- Ne laissez pas les appareils en veille lorsque ce n’est pas nécessaire.
- Ne laissez pas le cumulus/ballon d’eau chaude en marche pendant des absences prolongées.
- En été, fermez vos volets pour maintenir votre logement au frais et limiter le recours à la climatisation.
Investissez-vous dans la vie de la copropriété
Etre membre du conseil syndical vous permettra d’avoir accès aux documents comptables de la copropriété. Vous pourrez aussi demander au syndic de renégocier régulièrement les différents contrats de maintenance (chaufferie, ascenseur, espaces verts…) et d’assurance. Vous aurez ainsi la main sur la maîtrise des charges de votre immeuble.
Les 5 points essentiels à retenir
- En appliquant certaines règles de bon sens, vous profiterez au mieux de votre logement économe en énergie.
- Diminuer la température de chauffe, baisser les radiateurs pendant la journée ou fermer les volets par temps de grands froids vous permettra de diminuer votre facture de chauffage.
- Installer des mitigeurs, faire la vaisselle à la machine plutôt qu’à la main vous permettront de diminuer votre facture d’eau.
- Privilégier les ampoules basse consommation, ne pas laisser les appareils électriques en veille, choisir des appareils électroménagers économes en énergie ou fermer vos volets à la chaleur vous permettra de diminuer votre facture d’électricité.
- S’investir dans la vie de la copropriété vous aidera à maîtriser les charges communes.
Syndic, conseil syndical… : qui gère la copropriété ?
Vous venez d’acheter votre premier appartement en copropriété ? Vous êtes donc propriétaire d’une partie privative (votre logement) et d’une quote-part de parties communes (le hall d’entrée, le jardin…). La copropriété est organisée par la loi du 10 juillet 1965. Son fonctionnement repose sur trois entités : un syndic, un syndicat de copropriétaires et un conseil syndical. Voici un point sur le rôle et les attributions de chacun.
Le syndic : un interlocuteur obligatoire pour la copropriété
La loi impose que la copropriété soit gérée par un syndic. Il peut être professionnel ou non professionnel. Dans ce cas, on parle souvent de syndic « bénévole ». Cette solution peut être privilégiée dans les petits immeubles (moins de 10 appartements), sans impayés de charges et récents ou de bonne qualité afin d’éviter de gérer de gros travaux.
Le syndic a un rôle pivot dans la vie de la copropriété : il assure l’administration et la gestion de l’immeuble (gestion et suivi des travaux, négociation des contrats, organisation de l’assemblée générale, exécution des décisions prises lors de l’assemblée…). Il représente le syndicat des copropriétaires dans les actes de la vie civile (l’immatriculation de la copropriété, par exemple) et lors d’éventuelles actions en justice.
Le syndic : le choisir sans se tromper
Si vous faites le choix d’un syndic professionnel, quelques conseils de bon sens peuvent vous aider à recruter le candidat idéal. Commencez par définir les spécificités de votre copropriété (sa taille, la présence d’espaces verts ou d’équipements collectifs…). Puis listez vos besoins et vos attentes : par exemple, préférez-vous un grand groupe ou un indépendant ? Un syndic dont le cabinet est situé à proximité de l’immeuble ?
Ensuite, demandez deux ou trois devis à des professionnels dont vous aurez eu de bons échos (à défaut, vous pouvez passer par un courtier en syndics). Aujourd’hui, tous les syndics doivent utiliser un contrat type afin de faciliter la mise en concurrence. Ce qui ne doit pas vous empêcher de comparer l’étendue des prestations (durée des assemblées générales, nombre de visites dans l’année…).
Le syndicat de copropriétaires : il est composé de tous les copropriétaires
Vous en faites partie dès lors que vous achetez. Il est, en effet, constitué par l’ensemble des copropriétaires. Il prend toutes les décisions concernant les parties communes (travaux, équipements, modification du règlement de copropriété…) lors de l’assemblée générale annuelle.
À noter
L’assemblée générale est un moment clé de la vie de votre immeuble. C’est le moment où se prennent toutes les décisions, de la plus anodine à la plus importante. Participez-y ou, à défaut, faites-vous représenter par un autre copropriétaire.
Le conseil syndical : ses membres sont élus par les copropriétaires
Constitué de copropriétaires élus lors de l’assemblée générale annuelle, il assure la liaison entre les copropriétaires et le syndic. Il assiste le syndic et contrôle sa gestion. Il a un rôle consultatif et n’a pas, sauf exception (vote spécifique en AG pour certaines missions), de pouvoir décisionnaire.
À noter
Les membres du conseil syndical assurent leur mission bénévolement.
Les points clés à retenir
- Chaque copropriété doit être administrée par un syndic. Il peut s’agir d’un professionnel ou d’un « bénévole » choisi parmi les copropriétaires.
- Tous les copropriétaires constituent le syndicat de copropriétaires. Il se prononce, une fois par an au cours d’une assemblée générale, sur les grandes décisions affectant l’immeuble.
- Le conseil syndical est composé de copropriétaires élus lors de l’assemblée. Il fait le lien avec le syndic et surveille sa gestion.
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