La copropriété en VEFA, comment ça marche ?
La copropriété en VEFA consiste à acheter un appartement dans une copropriété… qui n’a pas encore de réalité concrète ! Quelles sont les différentes étapes à franchir pour que l’appartement, une fois livrée, rejoigne le giron de la copropriété ? Explications.
L’achat d’un appartement implique l’intégration dans une copropriété en construction, avec une structure qui évolue au fur et à mesure de l’avancement du chantier. Le promoteur immobilier est responsable de la mise en place d’un syndic de copropriété provisoire et doit informer les futurs propriétaires de sa création. La copropriété peut établir les appartements, même s’ils ne sont pas encore terminés ou livrés. Cependant, une fois les travaux achevés, les propriétaires peuvent s’installer dans le bâtiment considéré comme habitable et profiter des commodités. Les finitions dans les espaces communs ne déterminent pas l’habitabilité de l’immeuble. Le non-respect de ces conditions peut mettre le promoteur en situation d’illégalité.
Le syndic provisoire dure 12 mois au maximum
Avant la livraison des bâtiments, on nomme le syndic de copropriété provisoire. On peut le désigner de différentes manières : le promoteur peut le choisir sans informer les acheteurs à l’avance, si une clause spécifique l’autorise dans le contrat de vente. Le promoteur peut également demander l’autorisation aux acheteurs, en incluant la demande dans le contrat de vente ou en l’insérant dès la signature du contrat. Cette solution provisoire prend fin lors de la première assemblée générale des copropriétaires, qui doit se tenir dans les 12 mois suivant la création du syndic provisoire. À ce moment-là, les copropriétaires prennent le relais et peuvent renouveler leur confiance au syndic en place ou en choisir un autre. Il est important de noter que, dans les nouvelles constructions, la mise en concurrence des syndics est obligatoire. Il est donc nécessaire de consulter plusieurs propositions pour trouver celui qui fera consensus.
Le cas particulier des immeubles livrés par tranche
Obligatoire, le rôle du syndic consiste à assurer la bonne livraison des parties communes, à dénouer les éventuels conflits autour des malfaçons ou des litiges avérés avec le promoteur. Il doit assurer aussi l’établissement des contrats de fournisseurs (électricité, télécom…) pour l’ensemble de l’immeuble. A noter l’existence du cas particuliers des immeubles livrés par tranche, dans le cadre d’un programme neuf en comportant plusieurs. Cette livraison par tranche consiste à livrer un premier immeuble, puis un deuxième, etc. Dans ce cas, lorsque le premier immeuble aura été livré, la copropriété prendra forme. La seule différence est que les autres copropriétaires, convoqués dès la première AG liée à la livraison du premier immeuble, seront considérés comme propriétaires de “lots transitoires”. Ils doivent payer les charges de copropriété dès la création de cette dernière et la nomination du syndic, même si l’immeuble n’est pas encore habitable.
Les points essentiels
- Le recours à un syndic de copropriété est obligatoire avant même l’achèvement des travaux.
- Dans la limite des douze mois suivant la création du syndic provisoire, les copropriétaires doivent, lors de leur première assemblée générale, décidaient de renouveler le bail du syndic choisi ou d’en choisir un autre.
- Le choix d’un nouveau syndic impose d’en mettre plusieurs en concurrence.
Comment faire des économies d’énergie chez soi
Les tensions que connaissent, depuis le début de l’année 2022, les marchés de l’énergie impactent le pouvoir d’achat des ménages français. Chaque foyer a pu constater que les factures de gaz, d’électricité ou de fioul progressent. Il est possible de faire des économies d’énergie dans son domicile sans perdre en confort thermique.
Les économies à la maison
Pour la maison, préférez l’achat d’équipements classés A ou B en matière de performance énergétique. Ces étiquettes vous permettent d’être sûr d’acheter un objet peu gourmand en énergie. A contrario, les produits dont la note atteint les F ou G consomment beaucoup d’énergie. Cet indice s’applique aux lave-vaisselles, aux réfrigérateurs, aux fours, aux lave-linges, aux téléviseurs, aux générateurs de chauffage ou encore aux lampes et luminaires électriques. Pour l’électroménager, essayez de combiner performances énergétiques élevées et fort indice de réparabilité afin d’être sûr de pouvoir réparer votre aspirateur en cas de problème.
La plupart des fournisseurs d’énergie propose désormais de suivre en direct votre consommation à travers l’application de la marque de l’entreprise. Cela vous permettra de faire régulièrement le point sur vos dépenses. L’installation d’outils domotiques, comme des ampoules connectées ou encore un chauffage intelligent, peut aussi vous permettre de réaliser des économies. Vous pourrez ainsi pré-programmer des scénarios pour éviter de chauffer inutilement l’appartement ou la maison et de moduler la puissance de la lumière.
Si vous êtes propriétaire, n’hésitez pas à entreprendre des travaux de rénovation énergétique en les faisant financer par les aides locales et nationales. L’isolation est le poste le plus important de travaux pour faire des économies d’énergie. La déperdition moyenne d’une maison construite avant 1975 et non-isolée est de 20à 25% par le toit et les murs et 10 à 15% par les fenêtres selon l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie). Une isolation performante peut réduire la consommation d’énergie d’un logement de 60% ou plus. Les locataires peuvent faire remonter l’information à leurs propriétaires en précisant qu’il serait plus avantageux pour eux de faire les travaux nécessaires (valorisation du bien dans le temps, diminution de la vacance locative, cadre réglementaire…).
Des économies dans la copropriété
Au sein de la copropriété, vous pouvez demander à votre syndic de reprendre l’ensemble des contrats d’énergie ayant été souscrits dans le temps pour les renégocier. Il est possible de faire des économies sur certains contrats signés il y a très longtemps. Si le syndic est débordé, n’hésitez pas à vous constituer en syndic bénévole et à opter pour une gestion de votre immeuble plus personnalisé avec l’aide d’une plateforme numérique comme Hello syndic ou Matera. Ces derniers sont souvent plus réactifs en matière de mise en concurrence des contrats d’énergie.
Pour faire des économies d’énergie à l’échelle de l’immeuble, le mieux est encore de faire voter des travaux de rénovation énergétique en assemblée générale. Le ravalement de la façade peut, par exemple, être l’occasion de réaliser des travaux d’isolation des murs. Pour financer le coût de l’opération, le dispositif MaPrimeRenov’ peut également être sollicité à l’échelle de la copropriété. Pensez également à vous rendre dans l’agence France renov’ de votre territoire pour être conseillé sur l’ensemble des aides locales et nationales nécessaires pour faire vos travaux.
Acheter un logement neuf pour mieux économiser
Enfin, dans la mesure du possible, logez-vous dans l’immobilier neuf plutôt que dans le parc existant, que vous soyez un futur acquéreur ou un locataire. L’immobilier neuf répond depuis longtemps à des normes de construction exigeantes en matière d’isolation et de performance énergétique du bâtiment (RT 2012, Label bâtiment basse consommation, RE 2020…). Par exemple, selon les données d’un constructeur de maisons individuelles, la facture énergétique pour le chauffage, l’eau chaude et le système de ventilation d’une maison en RE 2020 est de 300 à 350 euros à l’année quand elle est de 500 euros à l’année pour une maison en RT 2012 et de 1.500 à 2.000 euros à l’année dans le parc ancien. Si le prix d’achat du logement neuf est plus important, de véritables économies sur le long terme sont possibles en matière de facture énergétique.
Les points clefs à retenir :
- Faites des économies en achetant des équipements de qualité.
- Renégociez vos contrats énergie ainsi que ceux de la copropriété.
- Si possible, investissez dans l’immobilier neuf.
Acheter en copropriété, les points de vigilance à avoir !
Acheter un bien en copropriété demande à un acquéreur d’être attentif à certains points. Dans le neuf, il est important, au moment de la livraison, d’inspecter en détail les parties communes pour faire remonter d’éventuelles réserves. Dans le parc existant, le procès-verbal d’assemblée générale doit mobiliser l’attention de l’acquéreur pour lui permettre d’être au courant des charges qui lui reviendront.
Inspectez la copropriété dans le neuf
Lors de l’achat d’un bien neuf, il est important de prêter attention aux parties communes de la copropriété. Toutes les prestations doivent être conformes au contrat de vente. Si vous remarquez des malfaçons, notez-les et signalez-les au syndicat de copropriétaires provisoire. Ce dernier sera chargé de lever les réserves auprès du promoteur et il remontera aux professionnels les défauts constatés.
Contrôlez donc le bon fonctionnement de l’Interphone et du digicode. Jetez un œil aux escaliers, aux boîtes aux lettres ou encore aux portes du garage. Les réserves seront ajoutées au procès-verbal de livraison. Ce dernier sera transmis au promoteur et il devra alors procéder à la mise aux normes rapide de l’immeuble en faisant jouer la Garantie de parfait achèvement auprès des entreprises de construction.
Lisez également en détail le règlement de copropriété pour savoir ce qu’il est possible ou non de faire (location saisonnière, barbecue dans certaines parties de l’immeuble, usage de ces dernières…). Vous trouverez également l’Etat Descriptif de Division (EDD) en annexe du règlement sur lequel est inscrit les tantièmes de chaque copropriétaire.
Les tantièmes correspondent à la part de copropriété possédée par chacun des copropriétaires. La plupart du temps, les copropriétés sont divisées en millièmes de parts, il s’agit en fait de tantièmes exprimés sous forme de mille. Vous saurez ainsi quelle part vous possédez dans l’immeuble.
Relisez les procès-verbaux dans l’ancien
Dans l’ancien, c’est sur les procès-verbaux des dernières assemblées générales des copropriétaires qu’il faudra porter votre attention. Grâce à ces documents, vous saurez si des travaux vont bientôt être réalisés dans l’immeuble.
Renseignez-vous également sur le montant des charges de l’immeuble pour avoir assez d’argent de côté pour régler les premiers appels de fonds. Soyez attentif au mode de chauffage utilisé dans l’immeuble. La hausse des prix de l’énergie, notamment du gaz et le fioul, risque de peser à long terme sur le montant de vos charges à venir. Portez une grande attention aux performances énergétiques de l’immeuble. Plus l’étiquette énergie sera basse (F ou G) plus il y aura de chances que de lourds travaux de rénovation énergétique soient entrepris dans les années à venir. Enfin, comme dans l’immobilier neuf, lisez attentivement le règlement de la copropriété pour connaître vos droits et devoirs dans l’immeuble.
Les points clefs à retenir :
- Lisez en détail le règlement de copropriété pour savoir ce qu’il est possible ou non de faire dans l’immeuble.
- Veillez à ne pas acheter un bien dans une copropriété qui va organiser prochainement de gros travaux coûteux.
- Examinez la bonne gestion et l’évolution des charges.
RE2020 : quels avantages pour mon futur logement ?
En vigueur depuis le 1er janvier 2022, la règle environnementale 2020 (RE2020), s’applique à toutes les constructions neuves dont le permis est déposé à partir de cette date. Cette norme de construction vient remplacer la RT 2012. De par ces exigences, elle permet d’offrir aux acheteurs des logements encore plus performants sur le plan énergétique, prenant en compte le confort d’été, le confort d’hiver et l’empreinte carbone de toute la chaîne de construction.
Des logements encore plus verts
La RE2020 (pour règle environnementale 2020), garantit la création de logements plus verts. Cette nouvelle norme environnementale s’applique à l’ensemble des constructions neuves depuis le 1er janvier 2022. Désormais, l’empreinte carbone du chantier est prise en compte par les promoteurs.
L’ensemble des émissions du bâtiment, tout au long de son cycle de vie, doit être optimisé de la phase de construction à la phase d’exploitation en passant par la fin de vie de l’immeuble. Les chaudières au fioul et à gaz sont désormais exclues des nouvelles constructions. Les promoteurs doivent veiller au confort d’été dans l’élaboration de chaque appartement. L’orientation du bien ou encore le recours à des matériaux de construction écologiques et biosourcés comme le bois sont des impératifs. Un point fondamental puisqu’avec la hausse du prix des matières premières, les factures énergétiques des prochaines années sont amenées à exploser. Vivre dans un logement en RE2020, c’est avoir la garantie d’être dans un bien ultra performant sur le plan énergétique et donc de profiter de factures énergie moins importantes que dans les autres logements.
Le bâtiment au cœur de la réflexion écologique
En France, comme l’affirme le ministère de la Transition écologique, le secteur du bâtiment représente 44% de la consommation d’énergie et près de 25% des émissions de CO2. D’où l’importance d’agir sur le secteur si la France souhaite réussir le pari de la neutralité carbone à l’horizon 2050.
La RE2020 va d’ailleurs se durcir au fil des années avec un premier rehaussement des exigences pour les constructeurs en 2025, puis en 2028 et un dernier en 2031. L’objectif à terme est d’obtenir une large gamme de logements Bepos, c’est-à-dire produisant davantage d’énergie qu’ils n’en consomment. Ce calendrier, échelonné dans le temps, devrait permettre aux promoteurs de s’adapter et renforcer leur savoir-faire, petit à petit, pour limiter la hausse des prix. Si dans un premier temps, comme l’affirme la Fédération française du bâtiment, on peut s’attendre à une hausse mécanique des prix du neuf de 5%, l’industrialisation des processus de constructions sur le long terme devrait permettre d’absorber cette hausse.
Les points clefs à retenir :
- La RE2020 prend en compte le confort d’été et permet d’avoir des logements neufs mieux ventilés.
- Les matériaux biosourcés et sains pour l’occupant sont mis à l’honneur dans les constructions.
- Chez certains promoteurs, cet investissement supplémentaire peut conduire à une légère hausse sur le prix du neuf.
Personnalisez vos aménagements avec un architecte d’intérieur
La moyenne de l’habitat français est de 90 mètres carrés. L’aménagement d’un logement dépend de sa surface, mais aussi de sa situation et de vos projets de vie. Faire appel à un architecte d’intérieur présente de nombreux avantages. En effet l’architecte d’intérieur est là pour vous aider à optimiser l’espace en fonction de votre mode de vie. Il suggère des aménagements pratiques et des embellissements. Il propose, en outre, un style de décoration et le décline en fonction des lieux, en interaction avec vous.
Des solutions pour optimiser votre espace
L’architecte d’intérieur est un professionnel reconnu par un organisme national. Ce dernier garantit les compétences professionnelles de ses adhérents. Le rôle de l’architecte d’intérieur consiste à concevoir et modifier des espaces intérieurs. Il crée un cadre de vie et de travail qui répond ainsi de manière harmonieuse aux usages et aux projets de son client.
Repenser son logement avec l’aide d’un architecte permet tout d’abord de gagner de l’espace. Cela passe par de petites astuces comme de plus grandes transformations. Il s’agit par exemple d’éviter les espaces perdus (en hauteur, en-deçà d’1 mètre 80, sous un escalier ou dans des renforcements). Autres pistes d’amélioration, créer des cloisons pour démultiplier les usages d’une même pièce. Ou encore aménager un grenier qui en plus de gagner de la place, augmente la valeur de revente de votre maison.
Le propriétaire doit vérifier quels travaux nécessitent l’accord de la copropriété, comme le percement d’un mur porteur ou toute modification de l’aspect extérieur de l’immeuble. Le locataire ne peut, de son côté, procéder qu’à certains aménagements (changement d’une peinture, d’un papier peint ou d’un parquet…). Toutefois, il ne peut pas, notamment, abattre une cloison, ouvrir un mur ou changer la destination d’une pièce.
Une décoration personnalisée
L’architecte d’intérieur possède une expertise en matière de couleurs, d’éclairages et de matériaux. Il met également en scène les meubles et objets. Il propose à son client des solutions personnalisées Son logement devient ainsi plus fonctionnel et agréable.
Travailler main dans la main avec son décorateur d’intérieur c’est en effet ajouter à son décor une touche de style. Ce petit supplément d’âme qui confère sa singularité à votre logement.
Un accompagnement pour recréer votre intérieur
L’architecte d’intérieur se charge en outre de piloter vos travaux hors structure. Il coordonne vos travaux d’aménagement d’un point de vue artistique et technique. Il se charge également de la gestion de projet. Son expérience et son carnet d’adresses s’avèrent donc des atouts précieux. À l’écoute de vos goûts et de vos aspirations, il saura ainsi vous orienter vers les entrepreneurs, fournisseurs et artisans adaptés à vos souhaits. Et les embellissements suggérés vous ressembleront ! De plus cela permettra d’augmenter la valeur du bien.
Les points clefs à retenir :
- L’architecte d’intérieur conçoit et redessine les espaces intérieurs de votre logement pour les optimiser.
- Il apporte la petite touche de style qui vous ressemble pour personnaliser votre décoration.
- L’architecte vous accompagne grâce à son carnet d’adresses et pilote vos travaux hors structure.
Sport, comment aménager une salle d’entraînement chez vous
Aménager une salle de sport à la maison ou dans votre appartement présente de nombreux avantages : gain de temps, intimité, économie d’un abonnement, possibilité de s’entraîner seul. Pour ce faire, un garage, un grand salon ou une pièce libre peuvent faire l’affaire. Avec un investissement minime, ou plus important, vous pourrez vous remettre en forme chez vous.
Quel matériel de sport pour pratiquer chez soi ?
Pour aménager une salle de sport provisoire dans son logement, un petit espace dans une pièce peut être suffisant. Choisissez alors un matériel léger et facile à ranger. Un tapis de sol, un élastique, des cercles et un ballon permettent, par exemple, de pratiquer le renforcement musculaire et les étirements, ou encore pilates et yoga à la maison. Le medecine ball, un poids lesté, comme les haltères, permettent également de travailler le foncier.
Un peu plus encombrant mais tout aussi polyvalent, le banc fonctionnel, ou pliable, peut aussi trouver facilement sa place dans une pièce existante. Le vélo d’appartement pliable offre, lui aussi, la possibilité d’un entraînement complet, avec une relative facilité de rangement.
Le matériel dédié à des exercices plus ciblés nécessite plus de place. Il s’agit notamment du rameur, du tapis de course et du vélo elliptique. Ou encore des racks ou cages à squats (des mouvements de musculation dédiés à la partie basse du corps), de la chaise romaine ou des barres de dip (qui sont dédiées à la musculation).
Optimiser l’espace
La salle à manger ou une chambre peuvent se prêter à la pratique sportive si elles offrent suffisamment d’espace. Vous pouvez cloisonner la pièce avec un paravent ou des portes coulissantes. Pour dissimuler votre matériel aux regards une fois l’entraînement terminé, vous pouvez tirez parti d’un espace inexploité pour créer de nouveaux rangements, en hauteur ou sous un escalier.
Si vous utilisez un garage, une cave, un grenier ou une annexe pour vous entraîner, soignez en la décoration pour créer une atmosphère stimulante. Il est en effet essentiel de se sentir bien pour faire du sport à la maison. L’exposition et l’éclairage naturel sont clés, tout comme l’aération.
Après le sport, il faut penser récupération
Il est notamment possible d’utiliser les espaliers, fixés au mur pour s’étirer après l’entraînement. Détente et récupération sont en effet le complément de toute séance de sport efficace. Vous pouvez également utiliser un siège ballon pour travailler votre posture tout au long de la journée.
Le saviez-vous ? Vous pouvez aussi utiliser les meubles (lit, canapé ou table), pour faire des étirements. Pour découvrir les mouvements adaptés, consultez les conseils de coachs sportifs et de kinésithérapeutes, sur les réseaux sociaux ou dans leurs livres. Enfin, investir dans une table de massage pliante offre un véritable plus pour se relaxer. Vous pourrez ainsi préparer vos muscles, et votre mental, pour la séance suivante.
Les points clefs à retenir :
- Choisissez un matériel léger ou dédié à un type d’exercice. Il peut trouver sa place dans une pièce existante.
- Utilisez une pièce spacieuse, lumineuse et aérée pour installer sa salle de sport provisoire dans son logement.
- Pensez récupération et détente en utilisant vos meubles et une table de massage pliante.
Espaces extérieurs, faire entrer la nature chez soi
Le Home Staging consiste à mettre en valeur son logement pour le louer ou le vendre dans de meilleures conditions. Optimiser les aménagements extérieurs de sa maison ou de son appartement permet également de mieux en profiter au quotidien. Voici des solutions simples pour embellir son balcon ou sa terrasse, comme une cour, un patio ou un jardin. Un rapide état des lieux des espaces disponibles et de leur entretien est nécessaire pour bien commencer.
Optimiser vos espaces extérieurs dans un esprit nature
Les confinements successifs ont suscité chez de nombreux Français une envie plus grande de verdure et de fraîcheur. Pour profiter de la nature chez soi, faites tout d’abord le point sur les espaces extérieurs sous-exploités. Ce tour d’horizon s’accompagne d’une vérification de l’état des aménagements et des travaux d’entretien à effectuer.
Vous pouvez ainsi repenser l’aménagement de vos espaces extérieurs : balcon, terrasse, cour ou patio. Vous pouvez aménager un toit-terrasse, ou roof top, en vérifiant les autorisations nécessaires. Vous pouvez aussi tirer un meilleur parti de votre jardin en créant des massifs et des allées pour mieux le structurer.
Et pourquoi ne pas végétaliser un mur ? Cela renforcera encore l’impression de nature autour de votre logement. Cette réflexion d’ensemble peut aussi être l’occasion de créer un jardin potager. Cette solution présente l’avantage d’être à la fois divertissante, saine, économique et écologique !
Créer des espaces extérieurs adaptés à vos usages
Pour créer un coin fraîcheur dans un espace extérieur, un petit arbre, comme un olivier, planté dans un bac peut être une première idée. Vous pouvez également installer une pergola avec des plantes décoratives et odorantes comme le jasmin, des rosiers grimpants, des orangers du Mexique ou une glycine. Veillez à respecter le règlement de copropriété et à ne pas gêner les voisins. Une toile tendue offre une autre solution simple, élégante et peu coûteuse pour créer de l’ombre.
Vous pouvez tirer parti d’un angle ou d’un renfoncement de murs pour aménager un espace détente. Pensez alors à reconvertir un abri existant pour créer un salon de jardin ouvert sur l’extérieur. Vous pouvez aussi installer un barbecue couvert ou une cuisine extérieure. Une déclaration de travaux est nécessaire notamment à partir de 5 mètres carrés de surface.
Du mobilier adapté pour vivre au grand air
Pour se protéger des regards et mieux profiter de vos espaces extérieurs, il existe des solutions comme les brises vues à placer derrière une haie diversifiée, en respectant certaines règles, ou les claustras, qui laissent filtrer la lumière et peuvent également s’habiller de végétaux.
Pour végétaliser vos espaces extérieurs limitez-vous à quelques caissons, pots et jardinières de grande taille. Vous ménagerez ainsi une impression d’espace. De même, banquette ou canapé d’angle suffisent à aménager un coin détente. Enfin, pensez à créer une aire de jeux ou une cabane. Vos enfants apprécieront !
Les points clefs à retenir :
- Un état des lieux des espaces extérieurs sous-exploités et des travaux d’entretien à réaliser permet de bien préparer votre projet de transformation.
- Repensez ensuite vos aménagements extérieurs en fonction de vos usages et de vos envies.
- Choisissez un mobilier adapté pour créer et protéger des espaces extérieurs agréables à vivre dans un esprit nature.
Comment devenir acteur de sa copropriété
La copropriété est souvent comparée à une petite société à l’échelle d’un immeuble. Chaque copropriétaire a son mot à dire sur la vie du bâtiment. Pour ce faire, vous pouvez recourir au vote en Assemblée générale et participer au conseil syndical pour prendre en main la destinée de votre futur lieu de vie.
Les droits du copropriétaire
Devenir propriétaire d’un logement en copropriété vous offre l’occasion d’être l’un des acteurs de la gestion de votre immeuble. En achetant un bien immobilier, vous obtenez des tantièmes. Cette notion permet de connaître la valeur des charges locatives de chaque lot, partie privative et partie commune.
Ainsi, si vous disposez de 100/1000ème vous êtes redevable de 10% des charges de la copropriété. Cette valeur vous permet également de déterminer le poids que vous aurez au moment du vote en Assemblée générale. Plus vous avez de tantième, plus votre voix compte.
Les Assemblées générales sont organisées à l’initiative du syndic, du conseil syndical ou de l’un des copropriétaires. Durant ces réunions, vous et vos voisins passez en revue tous les sujets inscrits à l’ordre du jour : travaux à voter, validation des comptes de la copropriété, élections du conseil syndical… Ce dernier a un rôle consultatif dans la copropriété et est composé d’un président et de quelques copropriétaires élus à la majorité absolue, pour une période de 3 ans renouvelable. Si vous le souhaitez, vous pouvez en faire partie afin d’assister le syndic dans ses missions.
Les devoirs du copropriétaire
Les droits que vous avez en tant que copropriétaire ne vont pas sans un minimum de devoirs. Ils sont résumés dans le règlement de copropriété. Ce dernier définit les règles de bon fonctionnement de l’immeuble. On y trouve des informations sur l’usage des parties communes et privatives et l’organisation de la copropriété sur le plan juridique.
Dans l’immobilier neuf, ce règlement est rédigé par le promoteur et les clauses dudit règlement ne peuvent être modifiés qu’en Assemblée générale à l’issue d’un vote. D’autres part, chaque copropriétaire s’engage à payer régulièrement le montant des charges qui lui sont dues et les appels de fonds.
Organisez la vie en collectivité grâce à des applications
Pour faciliter la vie en communauté, la plupart des professionnels n’hésitent pas à multiplier le recours à des applications sous la forme de réseaux sociaux. Ces derniers, permettent aux copropriétaire d’échanger et de s’informer sur la vie de l’immeuble ou de signaler un incident.
Les extranets sécurisés, obligatoires pour toutes les copropriétés, permettent également aux occupants d’une résidence d’accéder à l’ensemble des documents relatifs à l’immeuble, de les télécharger et de les imprimer. Certains outils, comme les applications ChouetteCorpo ou Syment sont même si évoluées qu’elles accélèrent la prise en charge rapide d’éventuels accidents ou dégâts dans un immeuble, depuis son smartphone.
Les points clefs à retenir :
- Être copropriétaire vous donne des droits et des devoirs.
- Vous pouvez devenir acteur de la vie de l’immeuble en votant en Assemblée générale.
- Des applications permettent d’améliorer la communication au sein d’un immeuble.
Les bonnes pratiques pour entretenir votre logement neuf
L’immobilier neuf répond aux dernières normes de construction. Toutefois pour s’assurer de la longévité de son bien, il faut savoir l’entretenir. Au moment de la livraison, le promoteur vous remet un guide d’entretien du logement. Ce dernier comporte un ensemble de bonnes pratiques à mettre en place pour utiliser au mieux les performances de votre nouvel appartement et éviter qu’il ne se dégrade trop rapidement, comme la température idéale du chauffage, l’entretien des volets roulants ou encore le nettoyage du compteur électrique.
Logement neuf : les bons gestes à adopter pour l’entretenir
Le secret d’un logement performant sur le long terme réside dans son entretien. Pour ce faire, au moment de la signature du procès-verbal de livraison, le promoteur vous remet une notice explicative, vous donnant des informations essentielles sur les produits à appliquer pour nettoyer les différents revêtements votre logement.
Ce document est important car sur du carrelage, de la moquette ou du linoléum, vous devez appliquer les bons produits pour les préserver longtemps. Par exemple, pour une moquette, plutôt que d’acheter des produits chimiques, saupoudrez-là de bicarbonate de soude que vous brosserez, puis laissez agir durant trois heures avant d’aspirer le tout avec un aspirateur.
Pensez à renouveler l’air régulièrement, été comme hiver, afin de faire diminuer le taux d’humidité et de CO2 chez vous. Trop d’humidité dans un logement, c’est le risque voir apparaître de la moisissure très vite et cela va compliquer la chauffe de votre bien. Il est également indispensable de ne jamais percez les murs en façades afin de ne pas altérer l’étanchéité du bien.
VMC et chauffage : essentiel à la longévité de votre bien
Concernant les équipements du logement, vous devez en prendre soin, à commencer par la ventilation mécanique contrôlée. Elle est essentielle et organise le renouvellement de l’air en faisant fuir les mauvaises odeurs.
Nettoyez les bouches d’extraction et les grilles d’arrivée d’air, pour éviter la formation de moisissures. Couper d’abord le courant, par mesure de sécurité, puis démonter les bouches d’aération afin d’en aspirer la poussière. Nettoyez ensuite le ventilateur et les filtres avec du dégraissant avant de laisser sécher et de tout réinstaller. Une opération à réaliser au moins une fois par an. Aspirez la poussière présente sur les convecteurs électriques.
Pour le chauffage, si vous utilisez une installation à gaz, un professionnel est chargé de l’entretien annuel de la machine. Pour les usagers des poêles à bois, pensez au ramonage de votre conduit, soit tous les deux mois, soit une fois par an pour un ramonage complet réalisé par un professionnel.
Quelles sont vos obligations si vous louez ?
En tant que propriétaire, votre rôle est de vous assurer que le bien est en bon état au moment de le délivrer à un locataire. Pour vous en assurer divers diagnostics techniques existent. Ensuite, c’est au locataire de prendre soin du bien et de l’entretenir régulièrement.
Vous ne vous occupez que des gros travaux, liés par exemple à la toiture ou encore aux canalisations du logement, à condition que leurs mauvais états ne dépendent pas d’une négligence du locataire. Ce dernier vous remet, en début de location, un dépôt de garantie, censé couvrir les éventuelles réparations locatives à réaliser au moment de son départ.
Les points clefs à retenir :
- Adoptez quelques gestes simples pour entretenir votre logement.
- Veillez toujours sur le système de ventilation et de chauffage.
- En cas de location, c’est au locataire d’entretenir votre bien sauf pour les gros travaux qui sont à votre charge.
Quels sont les travaux possibles dans mon logement en tant que propriétaire ?
Vous pouvez penser à tort qu’en tant que propriétaire vous pouvez réaliser n’importe quels travaux dans votre logement. Si vous vivez dans un appartement, votre bien est soumis au régime juridique de la copropriété dans le cadre de la loi du 10 juillet 1965. Ce dernier, fixe les règles de fonctionnement, à travers le règlement de copropriété. Ainsi, si certains travaux sont libres, d’autres nécessitent l’accord de l’ensemble des copropriétaires.
Parties privatives, parties collectives : prenez garde à la confusion
Vous ne pouvez pas entreprendre vous-même, et sans en avertir la copropriété, des travaux sur les parties communes de l’immeuble. En revanche, vous pouvez, sans en demander l’autorisation, entreprendre des travaux chez vous. Toutefois il existe de nombreuses exceptions.
Vous ne pouvez pas, par exemple entreprendre tous les travaux qui modifieraient l’aspect général de l’immeuble, comme la pose d’un velux ou la modification de vos équipements sanitaires ou de chauffage. Idem pour l’ouverture d’une trémie dans le plancher pour créer un duplex entre deux appartements ou encore le percement d’un mur porteur en vue d’agrandir une cuisine.
L’ensemble de ces modifications sont soumises à une autorisation préalable du syndicat des copropriétaires, lors d’une assemblée générale. Le mieux, avant de sortir vos outils, est de lire attentivement le règlement de copropriété. Vous y trouverez les premières indications sur ce qu’il est possible ou non de faire.
Travaux : comment obtenir l’accord de la copropriété ?
Pour réaliser des travaux vous devez dans un premier temps les inscrire à l’ordre du jour de la prochaine assemblée générale afin qu’ils soient votés. En amont, prenez le soin d’établir un dossier solide à présenter à l’ensemble des copropriétaires en introduisant, par exemple, un constat pour l’appartement au-dessus et en dessous du vôtre.
Vous pouvez faire appel à un bon architecte et à un ingénieur béton. Ils vérifieront avec une note de calcul, que l’ensemble du chantier ne porte pas atteinte à la solidité de l’immeuble et à sa structure. « Sans ces précautions, tous les désordres qui apparaissent pourront être réputés consécutifs à vos aménagements » alerte l’expert.
Afin d’obtenir des recours en cas de malfaçon souscrivez à un contrat d’assurance dommages et ouvrages. Certains travaux, comme la création d’une salle de bains, l’aménagement de combles ou l’installation d’un chauffage central, font l’objet d’une déclaration aux services fiscaux. En effet, ceux-ci augmentent la valeur locative de votre logement.
Si les travaux sont votés, respectez le confort de vos voisins et prenez le temps de les informer régulièrement du bon déroulement du chantier.
Les points clefs à retenir :
- Réalisez des travaux dans les parties privatives seulement.
- Evitez de toucher aux murs porteurs ou de modifier l’apparence de l’immeuble.
- Pour faire voter vos travaux en AG, constituez-vous un dossier solide.
Aix-En-Provence – Villa Milla
Bessancourt – Venelle Céladon
(45 logements)
Bezons – First
56 logements
Bondoufle – Plein’R
26 logements
Conflans-Sainte-Honorine – Villa Liberty
(24 logements)
Courdimanche – Eos & Villas Eos
52 logements
Egly – Les Plurielles
(56 logements)
Ingré – Floréal
(30 logements)
La Closerie du Vexin
Puiseux-Pontoise - La Closerie du Vexin (29 logements)
Le clos des Vignes – Carnoules
(29 logements)
Mantes-La-Ville – Vert Mantes
(45 lots)
Marcoussis – Les Jardins du Chêne Rond
35 logements
Marseille – Grande Terre
Marseille – Parc Alhena
(57 logements)
Montpellier – Lez in Art
(70 logements)
Noisy-Le-Grand – Osmose
60 logements
Saclay – Esprit Village
39 logements
Saint-Rémy-L’Honoré – Silva
29 logements
Soisy-Sur-Seine – Les Terrasses de Chenevières
(42 logements)
Triel-sur-Seine – Free Dom
14 logements
Vauréal – Les Jardins d’Horus
(41 logements)
Villepinte – Affinity
(61 logements)
Viry-Châtillon – Millénium
86 logements