Faut-il acheter en Vefa ?

Acheter en VEFA (vente en l’état futur d’achèvement) est un bon moyen d’investir en immobilier. Les avantages sont d’ordre fiscal et financier. Mais certaines mauvaises surprises peuvent apparaître des mois après l’intégration du logement. Comment s’en prémunir ? On vous livre les clés pour vraiment réussir un achat en VEFA.

Un contrat VEFA, qu’est-ce que c’est ?

La Vente en l’état de futur achèvement permet d’acheter un bien immobilier à partir d’un plan. Le contrat est signé entre le futur acquéreur, le promoteur immobilier et l’entreprise en charge du suivi des travaux. Cet investissement mobilise la vigilance des autorités publiques chargées de veiller à sa régularité. Le promoteur immobilier est sommé de prouver qu’il est bien en mesure de mener à bien le projet jusqu’au bout, notamment sur les réserves financières dont il dispose. Les fonds investis par l’acheteur doivent être sécurisés, si le projet n’est pas mené à son terme, afin que ce dernier puisse être remboursé.

Les avantages d’une telle acquisition

  • L’acquéreur bénéficie concrètement de plusieurs avantages :
  • réduction des frais de notaire
  • versement progressif au gré de l’avancement des travaux
  • possibilité de recourir à des Prêts au taux zéro et de bénéficier de défiscalisation
  • échange avec l’entreprise chargée de réaliser le chantier pour modifier certains aménagements
  • une TVA réduite

On vous en dit plus ci-dessous.

Réduction des frais de notaire

Cette dernière est appréciable, jugez du peu : les frais de notaire sont de 2 à 3 % contre 7 à 9 % dans l’ancien. De quoi faire des économies pour les consacrer à d’autres priorités.

Echéancier pour les versements progressifs

Le promoteur met en place un échéancier vous permettant de régler l’achat du bien en 4 à 5 versements. Ce qui éviter de devoir disposer des fonds dès l’amont de l’achat. En général, le versement de 30 à 35 % du montant global du bien est réclamé dès la signature du contrat. L’avancement des travaux rythme ensuite le versement des échéances.

PTZ et défiscalisation pour alléger la facture

Les avantages fiscaux sont non-négligeables dans l’achat en VEFA. L’acheteur peut bénéficier d’un prêt à taux zéro pour un montant équivalent à 40 % du prix total du bien. Le dispositif Pinel, même s’il disparaîtra en 2025, offre des remises d’impôt : de 17,5 % jusqu’à la fin de l’année, de 14 % en 2024. En contrepartie, le propriétaire du bien doit le mettre en location sur une période s’étendant de 6, 9 ou 12 ans.

Des plans modifiables

Si, au cours de l’avancement des travaux, vous voulez modifier quelque chose dans les plans, et si cela est techniquement possible, votre demande peut être prise en compte. Changement de place des prises, ajout ou suppression d’une cloison, création d’une porte sont généralement les demandes les plus fréquentes.

Une TVA à 5,5 % au lieu de 20 %

L’achat d’un bien en VEFA permet, dans certains circonstances, de bénéficier d’une TVA à 5,5 % contre 20 % habituellement. Pour ce faire, certaines conditions sont requises, comme le fait que l’habitat soit situé en zone Anru (Agence nationale de rénovation urbaine), dans les quartiers prioritaires de la ville, afin de diversifier l’offre immobilière dans les quartiers et favoriser la mixité sociale. Toujours concernant la TVA, sachez qu’en cas de revente du bien dont vous êtes le propriétaire, vous serez là encore complètement exonéré de la TVA… si la vente se fait auprès d’un particulier cinq ans après l’achat

Adapter son logement à ses problème de santé

Il faut, malheureusement, à un moment ou un autre, en prendre conscience : nous n’avons plus le corps de nos vingt ans… Pour faire face aux problèmes qui peuvent surgir, comme la perte d’autonomie, le handicap ou encore les accidents de la vie, on peut adapter son logement pour nous rendre l’existence plus agréable.

 

Cette prise de conscience nécessité d’abord d’avoir la lucidité de faire le tour de sa maison, notamment quand elle est neuve ou en cours de construction et qu’il est donc possible de l’aménager pour s’éviter des problèmes qui peuvent s’avérer insurmontables. Il est par exemple aujourd’hui très courant de bénéficier de système de téléassistance, qui aura pour effet de vous protéger et de rassurer vos proches. Sachez faire le bon choix, il existe malheureusement en la matière des solutions à l’efficience douteuse. Au passage, certaines aides publiques, venues des collectivités ou de l’Etat, peuvent vous permettre d’investir dans un système plus cher mais forcément plus efficace. Face à l’utilité du dispositif, il faut parfois faire l’effort financier qui s’impose. N’hésitez pas à solliciter l’Anil (Agence nationale d’information sur le logement) pour avoir des éclairages sur les aides disponibles.

Mixité intergénérationnelle

Certains programmes immobiliers sont conçus pour accueillir des personnes à mobilité réduite. Le concept est simple : permettre aux personnes âgées de vivre de plus en plus chez elles. Les « appartements santé » se multiplient. Ils reposent sur le principe de la mixité intergénérationnelle : un étudiant, un jeune travailleur, aux revenus faibles, bénéficient d’une décote de son loyer en veillant sur une personne âgée. L’idée se développe de plus en plus d’intégrer ce type de logements dans les programmes immobiliers traditionnels.

Une maison conçue pour des déplacements fluides

La maison doit être aussi aménagée de telle sorte qu’elle réduise au maximum les obstacles. Elle doit être de plain-pied, ce qui tombe sous le sens, éviter les petits escaliers, les butées. Organiser en amont une fluidité dans les déplacements, en évitant les endroits où les mouvements physiques empruntés sont rendus toujours plus difficiles.

La domotique, c’est fantastique

Le recours à certaines technologies de pointe peut être un grand facilitateur pour les personnes âgées. Les portes, le chauffage, les volets, les lumière peuvent être actionnés par télécommande. En cas de malaise, de difficultés physiques, l’alerte peut être donnée en appuyant sur un simple bip.

Sécuriser la salle de bains

La salle de bains, avec les lieux d’aisance, est sans doute la pièce dont il faut gérer bien en amont l’aménagement. Tout en effet doit être pensé bien pour éviter les chutes et les risques d’accidents. La liste des incontournables en la matière est connue : sol antidérapant, plus de baignoire mais des douches à l’italienne qui suppriment de fait la problématique des seuils, scellement de poignées de maintien pour se tenir en cas de difficultés, achat de mobilier réglable en hauteur, tels les lavabos, les sièges de douche ou encore les cuvettes des toilettes. Dans certains appartements, les lavabos sont imaginés de telle sorte que le mobilier est supprimé sous lui afin de permettre à un fauteuil roulant, par exemple, de s’y glisser sans trop de difficulté.

Ne pas hésiter de recourir aux services d’un ergothérapeute

Tous les bons conseils que l’on vous prodiguera n’auront pas la cohérence d’ensemble administrée par un ergothérapeute. Ce dernier dispose d’une vision d’ensemble du logement et l’adaptera à vos besoins.

Les aides publiques potentielles

  • La Caisse d’allocations familiales (CAF) vous renseignera sur votre éligibilité à bénéficier d’une allocation logement pour financer vos travaux.
  • Le Conseil départemental en fera de même concernant l’Allocation personnalisée à l’autonomie (APA) pour les personnes à partir de 60 ans.
  • Votre caisse de retraite complémentaire dispose peut-être d’aides similaires.
  • Des contrats « dépendance » sont proposés par les assureurs. Ne pas hésiter à vous renseigner auprès de ces derniers.

Les points essentiels à retenir

  • Il est nécessaire d’adapter bien en amont son logement pour s’éviter de mauvaises surprises, plus tard, quand le corps n’est plus porté par les jambes de vingt ans.
  • La domotique peut permettre de faciliter le bon fonctionnement de la maison.
  • Lever tous les obstacles, en demandant à un ergothérapeute d’établir un diagnostic dans ce sens.
  • La mixité intergénérationnelle permet aux personnes âgées ou handicapées de rester le plus longtemps chez elles.

 

Devenir propriétaire en étant sous plafonds de ressources

Comment faire pour devenir propriétaire quand on est sous plafonds de ressources ? Des solutions existantes : prêt à taux zéro (PTZ), le Bail réel solidaire (BRS), le Prêt social location accession (PSLA)…

Le petit coup de pouce du PTZ

Le prêt à taux zéro (PTZ) entre dans le champ des dispositifs de soutien à l’accession à la propriété, dans le neuf ou l’ancien, et s’adresse aux ménages à revenus modestes. Il est accordé sous conditions de ressources. Ce prêt immobilier sans intérêt est d’une durée totale de 20, 22 ou 25 ans. Il se décline en deux phases : une période différée de 5 à 15 ans durant laquelle les emprunteurs n’ont rien à débourser ; un temps de restitution progressive du capital sur une durée de 10 à 15 ans. La plupart des banques accordent ce prêt, appréciant en amont la solvabilité des emprunteurs. Attention, le PTZ ne couvre pas l’intégralité de l’achat du bien mais constitue un financement complémentaire.

L’octroi du PTZ prend en compte les revenus de l’emprunteur, le prêt étant destiné aux primo-accédants. Ces derniers ne doivent pas dépasser un plafond fixé en prenant en compte  la taille du ménage et de l’emplacement du bien acquis. Pour être éligibles, il ne faut pas avoir été propriétaire dans les deux ans précédant la demande de prêt. En 2023, le PTZ permet de financer, entre autres, un logement neuf (achevé depuis moins de cinq ans) sur l’ensemble du territoire. Le revenu fiscal de référence permet de déterminer si vous êtes, oui ou non, éligibles. Pour en savoir plus, se rendre sur le site : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F10871

Le BRS séduit de plus en plus

La première ministre, Elisabeth Borne, l’a annoncé récemment : elle entend accélérer le déploiement du Bail réel solidaire (BRS). Pour atteindre cet objectif, les plafonds de ressources seront révisés à la hausse pour ouvrir davantage le champ des possibles aux ménages. Le BRS a été créé par la loi Macron de 2015. Ce dispositif permet de dissocier le foncier du bâti. De fait, le ménage devient propriétaire des murs mais pas du foncier. Ainsi, la baisse du prix d’achat est estimée à -30 % en moyenne par rapport au prix du marché. Une fois les murs du logement achetés, le ménage verse une redevance sur le foncier à l’organisme de foncier solidaire (OFS) qui en est le propriétaire.

Le BRS repose sur un bail renouvelables de 99 ans maximum ; il est rechargeable, c’est-à-dire qu’en cas de vente du logement, le nouvel acheteur repart avec un nouveau bail de 99 ans… Ce BRS s’inspire du modèle anglo-saxon. Un dispositif qui est appelé à évoluer et séduit beaucoup de communes. Les plafonds de ressources requis oscillent autour de 50 000 euros de revenus annuels nets imposables pour un ménage avec deux enfants. Le gouvernement envisage de relever ce plafond prochainement dans les 200 communes françaises situées en zone tendue. Pour en savoir plus.

La souplesse du prêt social location accession (PSLA)

Le PSLA permet d’acquérir un logement à prix abordable en ayant la possibilité de tester quelques mois l’habitat. Il s’adresse à des ménages sous plafonds de ressources afin qu’ils puissent envisager de devenir propriétaire de leur résidence principale, à prix maîtrisé avec un statut de locataire accédant. Il est ainsi permis d’acheter le logement après l’avoir occupé quelques mois, en activant la levée d’option.

En effet, le dispositif se décline en deux phases : la première permet à l’accédant d’occuper le logement en acquittant une redevance ; cette dernière repose sur une indemnité d’occupation, dite part locative, plafonnée en fonction du nombre de mètre carré du logement et des annexes et une épargne, dite par acquisitive, déduite du prix de vente si tel est le choix de l’accédant.

Une phase locative au cours de laquelle l’accédant occupe le logement et acquitte une redevance. Cette redevance est composée d’une indemnité d’occupation (part locative) dont le montant est plafonné en fonction de la surface du logement + annexes et d’une épargne (part acquisitive) qui sera le cas échéant déduite du prix de vente. Une phase acquisitive qui intervient à l’issue de la première phase. Lorsque l’accédant le souhaite et selon les conditions prévues au contrat, il peut alors lever son option d’achat et devenir propriétaire de son logement. Ainsi, le prix du logement baisse de 1 % par année de location. Autres avantages : la taxe foncière est exonérée pendant 15 ans à partir de la date d’achèvement dans le neuf. Les accédants peuvent recourir sous conditions au PTZ et au prêt avantageux dispensé par Action Logement. Pour accéder au PSLA, la situation du demandeur est examinée lors de la signature du contrat préliminaire sur la base du revenu fiscal de référence de l’année N-2.

L’essentiel

  • Certains dispositifs s’adressent à des personnes ne disposant pas de ressources suffisantes pour acheter leur bien.
  • PTZ, BRS, PLSA… autant de sigles derrière lesquelles des solutions adaptées à la situation de chacun existent.
  • Concernant le BRS, les collectivités en sont de plus en plus friandes pour offrir des logements jusqu’à – 30% moins chers.

Préparer son déménagement

La vie épouse les formes de nos parcours résidentiels. On quitte un lieu, on en retrouve un autre. A chaque fois, se pose la question du déménagement. Petite liste des questions à se poser bien en amont pour éviter tout stress.

Avez-vous fixé le jour du déménagement suffisamment tôt ?

Seul avec des amis ou en recourant aux services d’un déménageur professionnel, il est indispensable de fixer bien en amont le jour du déménagement. Cela vous permettra de poser une RTT, d’alerter vos proches bien à l’avance et de lancer les procédures administratives au bon moment.

Avez-vous bien évalué le volume à déménager ?

Si vous passez par un déménageur professionnel, ce dernier, pour l’établissement de son devis, aura à évaluer le volume en mètres cubes. Même chose si vous louez un camion : il ne sert à rien d’en louer un gros si le volume à déplacer est raisonnable. D’autres éléments importants sont à prendre en compte : disposer de suffisamment de cartons pour éviter d’être en rade dans la dernière ligne droite, bien gérer l’emballage, en écrivant de façon lisible la destination des cartons, les objets fragiles, etc.

Avez-vous bien sécurisé vos documents et objets précieux ?

Le déménagement est une bonne occasion de faire un grand tri dans les documents… mais surtout de remettre la main sur certains qui auront leur utilité à un moment ou un autre : livret de famille, titres de propriété, certificats, diplômes, contrat de mariage, etc. Veillez à bien les sécuriser : une précaution qui vaut aussi pour vos bijoux et objets précieux. Et puisque l’on parle de tri, c’est sans doute le moment idéal d’envoyer à la déchèterie un certain nombre d’objets inutiles !

Avez-vous alerté votre bailleur ou votre syndic ?

Si vous louez un logement vide, vous devez respecter un délai de trois mois avant votre départ. Ce dernier peut être ramené à un mois lorsque le locataire justifie l’obtention d’un premier emploi, l’obligation d’une mutation professionnelle, la perte d’un emploi ou le démarrage d’une nouvelle aventure professionnelle consécutive à la perte d’un emploi ; ce délai s’applique aussi si vous habitez un logement situé en zone tendue. Prenez contact avec l’agent immobilier ou le propriétaire pour programmer l’état des lieux. Si vous êtes propriétaire, il vous appartient d’alerter suffisamment tôt le syndic de votre départ, le temps pour ce dernier d’établir un arrêté de comptes de charges et de transmettre le document au notaire chargé de la future vente.

Avez-vous des travaux à faire dans votre ancien ou nouveau logement ?

Si vous quittez un appartement que vous louiez, il faut faire en sorte de le rendre en bon état. Il est par exemple conseillé que les trous laissés par les clous posés pour y accrocher des tableaux et autres étagères doivent être rebouchés. Un petit coup de pinceau et un grand ménage sont aussi conseillés… Un bon entraînement pour faire à peu près la même chose dans le nouveau logement que vous occuperez !

Avez-vous pensé à résilier votre assurance habitation et à en prendre une autre ?

Lorsque vous changez de logement, votre assureur doit être alerté car les caractéristiques du nouveau logement peuvent avoir évoluées (surface, nombre de pièces, etc.), ce qui ne manquera pas d’avoir un impact sur le coût de votre nouvelle assurance. Ce moment-là est aussi un bonne occasion de solliciter des devis auprès d’autres assureurs.

Avez-vous prévenu les diverses organismes privés et publics ?

Le changement de logement implique souvent la mise en œuvre de nombreuses formalités administratives auprès des organismes privés et/ou publics (banque, opérateur téléphonique, impôts, CAF, votre fournisseur d’énergie, changement d’adresse de la carte grise, etc.). Sans oublier le suivi du courrier pendant quelques mois au moins de l’ancienne à la nouvelle adresse… Etablir une liste de toutes les démarches à réaliser est nécessaire pour éviter de mauvaises surprises.

Acheter dans le neuf ou dans l’ancien ?

Les avantages liés à l’achat d’une maison ou d’un appartements neufs sont connus. De l’exonération de la taxe foncière aux économies d’énergie, des garanties fournies par le constructeur sur la qualité du bâti jusqu’aux frais de notaire réduits, la comparaison avec l’achat dans l’ancien fait clairement pencher la balance vers le neuf.

Si votre projet de construction d’une maison neuve ou d’achat d’un appartement neuf est bien avancé, c’est sans doute parce que vous avez déjà pesé le pour et le contre d’un tel choix. L’achat dans le neuf est déjà largement plébiscité par de nombreux particuliers, notamment grâce au dispositif Pinel qui permet à la fois de défiscaliser ses revenus et de percevoir un loyer pour disposer d’un revenu complémentaire pour sa retraite. Il s’agit aussi d’un choix écologique. En effet, les constructions neuves émettent moins de CO² dans l’atmosphère en étant mieux isolées, ce qui permet de payer ses factures énergétiques au juste prix. Autre avantage certain : entrer dans un logement neuf évite de faire des travaux avant de l’habiter !

La maison dont vous rêviez

Certes, l’acquisition d’une maison clé en main en Vefa (Vente en l’état futur d’achèvement) réclame parfois un peu de patience. Mais vous tenez quand même un petit peu le crayon de l’architecte et êtes ainsi en mesure de lui suggérer certains aménagements, dans la limite des possibilités techniques. Bref, vous entrez dans la maison dont vous rêviez. Les logements dont les permis ont été déposés après le 1er janvier 2022 sont désormais soumis à la RT2020, réglementation déterminant un certain nombre de normes pour éviter que le logement soit trop polluant. Autre avantage non-négligeable, surtout dans les centres urbains : chaque logement est proposé avec une place de parking… sauf dans le cadre de la vente de certains studios.

Une fiscalité avantageuse

La fiscalité d’un logement neuf est assez avantageuse. Pendant les deux ans qui suivent l’achèvement des travaux, vous êtes exonéré du paiement de la taxe foncière. Par ailleurs, les frais de notaire pour un logement neuf sont réduits via une diminution des droits d’enregistrement. De ce fait, ces frais représentent entre 2 et 3 % du prix d’un bien neuf, à comparer avec les 7 à 8 % applicables pour un bien immobilier ancien. Pour les primo-accédants, vous pouvez bénéficier d’un prêt à taux zéro. Sur certaines opérations, le taux de TVA est réduit à 5,5 % contre 20 % dans le cadre de travaux entrepris dans l’ancien.

Une protection juridique solide

Une protection juridique solide de dix ans accompagne les acquéreurs dans le neuf. Différentes garanties sont assurées par le promoteur et elles sont obligatoires : la garantie de parfait achèvement ; la garantie décennale ; la garantie de bon fonctionnement ; la garantie de prix ferme et définitif ; la garantie financière d’achèvement. Autant d’arguments qui ne peuvent que vous encouragez à acheter dans le neuf.

Les points à retenir

  • L’achat dans le neuf présente plusieurs avantages : réduction fiscale et des frais de notaire à l’achat, possibilité de choisir sur plan sa maison, protection juridique solide…
  • La RT2020 oblige à la construction de maisons économes. D’où la baisse des factures énergétiques et la réduction des émissions de GES.
  • Le dispositif Pinel, toujours en vigueur, vous permet d’acheter pour louer tout en défiscalisant vos revenus.

Plafonds de revenus 2023

Pour favoriser l’accès à la propriété, un plafond de revenus encadre l’acquisition d’un logement en accession sociale. Ce dernier concerne notamment le Prêt Social en location-accession (PSLA) et le dispositif Bail Réel Solidaire (BRS). Révisé chaque année, il est augmenté de 6,3% dès le 1er janvier 2023 pour compenser l’inflation observée en 2022.

Les ménages bénéficiaires doivent respecter ces plafonds de ressources, vérifiés soit lors de la signature du contrat préliminaire de réservation ou, à défaut, du contrat de location-accession ou du contrat de VEFA. Pour justifier de leur ressources, les acquéreurs doivent fournir leur avis d’impôt sur les revenus de l’année n-2.

Pour 2023, les plafonds de ressources à ne pas dépasser sont les suivants :

Le classement des communes dans les zones A, B ou C résulte de l’arrêté du 30 septembre 2014 (JO du 14.10.14) pour les décisions d’agrément accordées à compter du 1er février 2015.

Zone Abis : Paris et 76 communes d’Ile-de-France / Zone A : Agglomération parisienne, Côte d’Azur, Genevois français et autres zones très tendues (Lille et communes limitrophes, Lyon et Villeurbanne) / Zone B1 : Agglomérations de plus de 250 000 habitants, pôles de la grande couronne parisienne, pourtour de la Côte d’Azur, Outre-mer, et quelques agglomérations au marché́ tendu / Zone B2 : Autres agglomérations de plus de 50 000 habitants, communes périphériques des secteurs tendus (grande couronne parisienne, zones littorales ou frontalières, Corse) / Zone C : Reste du territoire

Pour connaitre la zone de votre commune  : https://www.service-public.fr/simulateur/calcul/zonage-abc

Plus d’informations sur les plafonds : https://www.anil.org/aj-accession-sociale-psla-zones-anru-plafonds-2023/

Achat en VEFA : les 5 étapes clés de votre investissement

De la constitution de l’apport à la personnalisation du bien en passant par le suivi du chantier ou la signature de l’acte de vente final, l’achat d’un bien immobilier suppose de passer par différentes étapes fondamentales. Un temps durant lequel vous verrez votre logement se construire petit à petit.

Étape 1 : Réserver le logement idéal

Après une première prospection sur le site internet de votre promoteur ou en bulle de vente, vient l’une des étapes les plus importantes de votre parcours d’acquisition : la signature du contrat de réservation. Ce document est le premier pas vers l’accès à la propriété de votre futur logement neuf. Il recense l’ensemble des informations liées à la description du logement, sa date de livraison, les matériaux utilisés… Vous y trouverez également le délai fixé pour trouver les financements nécessaires au paiement du bien. Un premier acompte, qui équivaut à 5% du prix du logement, vous sera demandé. Une fois le contrat signé, vous avez 10 jours pour vous rétracter. Cette étape est également celle où vous allez pouvoir vous projeter dans votre logement à travers les maquettes 3D fournies par le promoteur. Des options de personnalisation du bien peuvent être proposé comme la possibilité d’installer une cuisine aménagée, de le meubler ou encore d’ajouter ou de retirer une cloison à l’appartement.

Étape 2 : Trouvez le financement

Passé ce délai, la recherche du financement adéquat va pouvoir commencer. D’abord, mettez les banques en concurrence, soit par vous-même, soit en passant par un courtier en crédit immobilier, pour trouver le meilleur taux possible. Pensez ensuite à consulter les aides à l’achat locales ou nationales. Ces dernières vous permettent de vous constituer un apport. Votre dossier aura ainsi plus de chances d’être accepté par la banque. Parmi les dispositifs existants, on peut citer le Prêt à Taux Zéro. Disponible en zones tendues (Abis, A, B1) il permet, en fonction de vos revenus, de bénéficier d’un prêt sans intérêts pouvant représenter jusqu’à 40% du coût total de l’opération. Autre mécanisme intéressant pour les salariés, le prêt accession Action Logement. D’un montant maximum de 40.000 euros, il peut lui aussi financer jusqu’à 40% du montant de l’opération. Pour l’obtenir vous devez être salariés d’une entreprise du secteur privé non agricole de 10 salariés et plus et ne pas avoir de revenus dépassant un certain plafond.

Étape 3 : Signer l’acte final de vente

Une fois le financement trouvé, vous pourrez enfin signer l’acte authentique de vente chez le notaire. Le professionnel du droit reliera en détail chacune des pages du contrat de vente. C’est le moment de vérifier s’il existe des différences avec le contrat de réservation et de les signaler immédiatement. La signature de l’acte de vente permet le transfert de propriété.

Étape 4 : Suivez le chantier de votre nouveau logement

Vous n’aurez plus ensuite qu’à suivre l’évolution du chantier pour voir votre logement se construire petit à petit. Le promoteur met à la disposition des clients un calendrier prévisionnel de construction. Une première visite est organisée sur le chantier. Il s’agit de la « visite cloison ». Elle intervient entre six et neuf mois avant la fin du chantier et permet de voir si tout se déroule comme prévu. Le logement n’a ni peinture, ni revêtements, ni portes, ni fenêtres. C’est le moment idéal pour inviter un artisan ou un architecte de déco intérieur pour qu’il prenne les dimensions des pièces pour vous proposer par la suite un aménagement personnalisé dans la cuisine, salle de bain, chambre…

Cette visite est l’occasion de vérifier le positionnement des cloisons, la dimension des pièces et la hauteur sous plafond. En cas de problème, n’hésitez pas à la signaler au promoteur afin qu’il les corrige. Viens ensuite la visite de pré-livraison. Elle intervient un mois avant la visite de livraison et la remise des clés. Là encore, c’est un moment important car vous pourrez faire remonter les manquements et malfaçons éventuelles au professionnel.

Étape 5 : Récupérez les clés

Enfin, la dernière étape de votre parcours d’achat arrive. Le moment de la visite de livraison du bien. Munissez-vous de votre acte authentique de vente final afin de vérifier que l’ensemble des prestations promises soit livrées. Pensez à signaler toutes malfaçons dans le procès-verbal afin que le promoteur puisse les réparer au plus vite. Inspectez aussi bien les parties privatives que communes dans les moindres détails et testez chaque équipement. Ce n’est qu’après cet examen minutieux que vous pourrez récupérer les clés de votre logement et enfin emménager. En cas de réserves, vérifiez suite à un échange par email ou courrier postal, à que le promoteur s’engage à les lever au plus vite.

Les points clefs à retenir :

  • Si vous n’avez pas d’apport, pensez au Prêt à Taux Zéro pour votre achat dans le neuf.
  • Participez aux visites de cloisons et de pré-livraison.
  • Notez l’ensemble des réserves que vous remarquez au moment de la visite de livraison.

Personnaliser son appartement avant la livraison : quelles sont les modalités ?

Contrairement au parc immobilier ancien, en achetant un bien immobilier neuf, l’acquéreur peut personnaliser son bien avant la livraison. Il peut ainsi profiter d’un logement unique, adapté à ses besoins. Finitions, ameublement, retrait ou ajout de cloisons dans le bien, les possibilités sont considérables. On parle alors de TMA (Travaux de Modifications Acquéreurs). Certains programmes permettent même à l’acquéreur de finir les travaux lui-même s’il le souhaite. Cela lui permet ainsi de profiter d’un logement moins cher.

Personnaliser la conception de son bien

En achetant un bien immobilier neuf en Vefa (Vente en l’état futur d’achèvement), vous avez la possibilité de personnaliser votre appartement pour le rendre unique avant qu’il ne soit livré grâce aux Travaux de Modifications Acquéreurs (TMA). Plusieurs éléments peuvent être modifiés par rapport au plan d’origine, sous réserve de respecter les réglementations en vigueur et la procédure de construction du professionnel.

Plus vous vous y prenez tôt et plus le professionnel sera en mesure de vous aider dans votre projet de personnalisation. Si la demande arrive à un moment où la construction de l’immeuble est déjà fortement avancée, il sera difficile de réaliser les travaux demandés ou alors ils risquent de coûter bien plus chers que prévu.

Le coût des TMA n’est pas inclus dans le prix de vente du bien. Ils font l’objet d’un devis. Tous les travaux nécessitant un permis de construire modificatif, comme le déplacement des fenêtres ou la destruction d’un mur porteur sont impossibles à réaliser. Les TMA doivent être conformes au permis de construire initial. Vous pouvez donc déplacer une cloison, poser une prise électrique voire dans certains cas faire fusionner deux appartements.

Participer à l’aménagement de son bien

La plupart du temps, le promoteur vous propose un catalogue d’options parmi lesquelles vous pouvez choisir les revêtements des sols, la faïence murale ou certains équipements du logement. Quelques promoteurs vont encore plus loin et vous proposent de sélectionner l’ensemble des meubles du bien, de la cuisine à la salle de bain en passant par les rangements du salon ou l’aménagement du jardin.

D’autres mettent à votre disposition des packs domotiques afin d’installer des objets et équipements connectés dans le logement (thermostat, volets roulants, ampoules…) rend0ant ainsi le bien plus intelligent. Le cas échéant, des professionnels proposent une option « prêt à décorer ». La peinture, la pose de carrelage, de meubles de salle de bains et de cuisine sont alors retirés du contrat de vente final afin de vous laisser la main sur ce point. C’est une option intéressante pour personnaliser à 100% votre intérieur et faire des économies. Par exemple, une maison neuve qui serait estimée à 189.500 euros en étant entièrement construite pourrait voir son prix diminuer jusqu’à 164.900 euros si le particulier choisit l’option « prêt à décorer ».

Les points à retenir : 

  • Les TMA permettent de modifier en profondeur l’agencement des pièces d’un logement neuf.
  • Les bricoleurs peuvent se tourner vers l’option « prêt à décorer » pour faire baisser le prix.
  • En choisissant les revêtements et le mobilier, l’acheteur personnalise à 100% son futur bien.

 

Comment choisir votre logement en prévision de la retraite ?

Pour conserver son logement le plus longtemps possible, il est important de faire les bons choix au moment de l’achat. Outre l’emplacement, l’inspection détaillée de la copropriété et la réactivité du syndic sont des signes auxquels il faut prêter une attention particulière. Certains biens s’adaptent facilement aux différents cycles de la vie d’un ménage et facilitent le retrait ou l’ajout d’une cloison en fonction de ses besoins. Enfin, les propriétaires doivent être vigilants à l’entretien de leur bien pour l’améliorer progressivement.

Trouvez le bon emplacement

En immobilier, l’emplacement demeure la règle fondamentale pour réussir son acquisition. Pour augmenter les chances de conserver son bien jusqu’à la retraite, il est important de miser sur un appartement situé dans une ville dynamique, proche des transports en commun, des commerces et des lieux culturels (musées, galeries, parcs…). Le choix du quartier est également primordial. La mairie peut vous renseigner sur les associations locales pour ne pas manquer d’activités au moment de la retraite.

Pour la copropriété, il vaut mieux se tourner vers les bâtiments avec ascenseurs ou opter pour un logement en rez-de-chaussée. Si vous conduisez, veillez à ce qu’une place de parking vous soit attitrée.

Pensez à l’avenir

Pour l’appartement, essayez de penser à l’avenir en le choisissant. Préférez les biens adaptés au vieillissement et dotés de volets roulants automatisés, de sièges de douche mural, de revêtements de sol antidérapants ou encore de WC surélevés.

Vous pouvez également vous tourner vers les programmes immobiliers neufs. Ces derniers proposent souvent des logements modulaires. Ces biens s’adaptent aux grands temps forts de la vie d’une personne et il est très facile de les modifier en ajoutant ou retirant une cloison. Cela permet d’agrandir une pièce ou de créer un deuxième logement qu’il sera possible de mettre en location pour obtenir un complément de revenus. Enfin, la domotique présente dans la plupart des logements neufs, peut vous faciliter la vie dans les tâches du quotidien (gestion des accès de l’habitat depuis un smartphone, pilotage des éclairages…)

Entretenez votre bien

Si vous souhaitez conserver votre bien jusqu’au moment de la retraite, pensez à l’entretenir régulièrement. Pour ce faire, n’hésitez pas à recourir aux aides. Il en existe pour adapter son logement au vieillissement ou pour la rénovation énergétique. Action Logement par exemple propose jusqu’à 5.000 euros pour adapter une salle de bains.

Vous pouvez également recourir au dispositif MaPrimeRenov’. Il permet de changer votre installation chauffage, d’isoler vos murs ou de changer vos fenêtres en faisant baisser le coût des travaux. De quoi profiter d’un confort thermique optimal et surtout, de faire des économies sur ses factures d’énergie.

Les points clefs à retenir :

  • Préférez les biens situés dans des villes dynamiques proches des commerces et des transports en commun.
  • Tournez-vous vers des logements modulaires dont la superficie peut facilement s’adapter aux moments-clés de votre vie.
  • Faites régulièrement des travaux de rénovation énergétique si nécessaire.

Quels critères pour choisir le logement qui protégera ma santé ?

Les questions de santé et de bien-être des occupants des logements prennent de plus en plus d’importance au fil des années. Les promoteurs tentent ainsi de développer une nouvelle offre de biens répondant à ces nouveaux impératifs. À ce titre, la nouvelle règle environnementale RE2020 contribue à l’émergence d’une nouvelle génération de logements adaptés à la santé de leurs usagers. Des conditions d’ensoleillement à l’isolation en passant par les matériaux biosourcés ou les sigles… quels sont les critères à surveiller pour protéger sa santé lorsqu’on achète un logement neuf.

Les sigles qui rassurent

Pour s’assurer que son logement soit bon pour sa santé, les particuliers qui achètent du neuf peuvent se référer à certains sigles comme celui de la RE2020 ou de la RT2012. Il s’agit des deux normes qui donnent aux promoteurs des directives en matière de construction afin que le logement soit performant sur le plan énergétique et donc sain pour l’occupant. La RT2012 s’applique à tous les logements neufs construits depuis 2012. La RE2020, en vigueur depuis le 1er janvier 2022, va permettre l’émergence d’une nouvelle génération de logements encore plus performants, mieux orientés pour profiter de la lumière naturelle, avec des matériaux biosourcés moins toxiques pour l’organisme et plus soucieux de la biodiversité.

 

Autre sigle important : le label BEPOS. Ce dernier signifie que le logement est positif, c’est-à-dire qu’il produit plus d’énergie qu’il n’en consomme. Outre les économies sur les factures d’énergie, cette catégorie de logements offre une meilleure isolation des murs, de la toiture ou des ouvertures, ce qui garantit à l’usager un meilleur confort phonique et thermique.

 

Enfin, la norme NF Habitat HQE, permet à l’acquéreur de savoir que le logement est construit avec une exigence renforcée quant à la qualité du lieu de vie et de la santé. Cela passe par une attention particulière à l’air intérieur ou par la pose de garde-corps qui protège efficacement contre les chutes.

Les caractéristiques du logement

Le lien entre santé et logement est fondamental. Dans un sondage Ifop réalisé pour Woodeum en décembre 2020, 90% des personnes interrogées se disent conscientes de l’impact de l’habitat sur la santé et le bien-être.

 

Parmi les facteurs fondamentaux on retrouve l’importance de la lumière naturelle. Essentielle au corps humain, elle permet de synchroniser nos rythmes biologiques. L’isolation phonique et thermique du lieu sont tout aussi importants. Le bruit peut être une source de troubles sensoriels et provoquer des problèmes de sommeil tout comme le froid ou l’excès de chaleur.

 

Enfin, la présence d’une VMC performante vise, non seulement à renouveler l’air dans la pièce, mais également à éviter l’accumulation d’humidité dans le logement. Rappelons qu’un taux d’humidité trop important dans un appartement ou une maison (au-delà de 65%) peut provoquer des allergies ou contribuer à rendre les occupants sujets à de multiples infections comme les bronchites, les rhinites ou la conjonctivite. Ajoutons également que la mauvaise qualité de l’air favorise l’arthrite, l’arthrose et les rhumatismes.

Les bons gestes du quotidien

Posséder un bon logement ne suffit pas pour préserver sa santé. Encore faut-il savoir l’utiliser. Quelques gestes simples sont à instaurer. Par exemple, se référer au guide d’usage du logement, fourni par le promoteur au moment de la livraison. Ce dernier recense les informations qui vous permettront d’utiliser et de bien nettoyer la VMC, de comprendre le fonctionnement thermique du logement. Pensez également à aérer régulièrement le logement afin d’éviter que trop de CO2 ne se soit accumulé dans les pièces. Utilisez un hygromètre pour contrôler régulièrement l’humidité dans les pièces afin d’éviter le développement des allergies.

Points clés à retenir 

  • Les normes de construction dans l’immobilier neuf permettent de délivrer des logements performants et bons pour la santé.
  • Les particuliers doivent veiller à la ventilation et l’isolation de leur futur logement.
  • Adopter les bons gestes est primordial pour profiter pleinement de performances d’un logement neuf.
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